Ces dernières années, et notamment la période estivale a été pour le citoyens et les acteurs de l'eau un tournant décisif concernant l'enjeu quantitatif.chateau d'eau derriere champ de mais

Sur Sarthe amont, l'aspect quantitatif était plutôt traité au travers des inondations, alors que l'enjeu lié à la sécheresse n'était jusque-là que peu pris en compte dans les objectifs du SAGE. Le positionnenemt du bassin versant, avec 1/3 de son territoire en Normandie alimentait cette croyance par lequel on ne manquerait pas d'eau.

L'étude de détermination des débits de référence menée de 2013 à 2014 a déjà permis de démontrer qu'il existe des secteurs en tension, notamment la partie ornaise et plus sépcifiquement les prélèvements en eau potable sur le cours d'eau de la Sarthe. Le sous-bassin versant de la Bienne connait également des périodes difficiles d'un point de vue quantitatif, notamment au mois d'août, où l'irrigation agricole et la surévaporation des plans d'eau sont importants.

Enfin, les derniers étés nous ont montré la sensibilité de nos cours d'eau et de la ressource en général. Il est aussi important cours d'eau en assecde prendre en compte l'impact de ces aspects quantitatifs sur la qualité de l'eau de nos cours d'eau. Des débits très faibles, voire des assecs, générent une augmentation de la concentration des pollutions (l'aspect dilution est moindre voire nul) et l'ensemble de la biologie aquatique (faune et flore) se trouve impacté. Or, il est nécessaire de garder à l'esprit que le paramètre biologie des cours d'eau, qui est le plus intégrateur de tous les paramètres utilisé pour qualifier la qualité d'un cours d'eau, peut ainsi se trouver mis à mal pendant plusieurs mois voire plusieurs années, suite à des assecs prolongés.

La Commission Locale de l’Eau ayant lancé la révision du SAGE Sarthe amont en 2019, il est désormais nécessaire pour cette dernière d’élargir les connaissances acquises lors de l’étude de détermination des débits de référence.  Par rapport à l’étude de détermination des débits de référence, la CLE souhaite :

  • Étendre sa connaissance de l’état quantitatif des eaux superficielles (prélèvements, rejets, hydrologie désinfluencée, besoins des milieux) à l’ensemble des périodes de l’année (et non plus aux seuls mois d’étiage),
  • Affiner la connaissance de l’état quantitatif des eaux superficielles (prélèvements…) sur des secteurs plus restreints géographiquement (et non plus aux seules unités réglementaires de gestion de crise) ;
  • Ajouter aux chroniques 2000-2010 de l’étude de détermination des débits de référence, les chroniques 2011-2020 afin de prendre en compte les évolutions climatiques et d’usages de la dernière décennie,
  • Synthétiser l’ensemble des données existantes et en cours d’acquisition concernant les eaux souterraines et s’assurer que les postulats mis en œuvre dans l’étude de détermination des débits de références sur les liens nappe/cours d’eau restent valides,
  • Identifier les principales caractéristiques des nappes d’eau souterraines,
  • Identifier les secteurs superficiels sous tension à l’échelle des grandes unités de gestion réglementaires et caractériser d’éventuelles évolutions par rapport à l’étude précédente, et à une échelle plus fine le cas échéant,
  • Selon les données récoltées, identifier les nappes souterraines où il pourrait exister des tensions,
  • Disposer de volumes prélevables sur des unités de gestion superficielles cohérentes,
  • Estimer le débit écologique sur la Bienne et le comparer aux données fines collectées par le maitre d’ouvrage sur l’irrigation pour affiner les débits seuils réglementaires et les volumes prélevables proposés dans la précédente étude de détermination des débits de référence
  • Estimer le débit écologique au point nodal de la Sarthe amont à Souillé, et proposer un débit objectif qui tiendrait compte du débit écologique et des besoins en aval identifiés dans l’étude volume prélevable du SAGE Sarthe aval.
  • Disposer de préconisations pour intégrer dans le futur SAGE si la CLE le souhaite, les débits objectifs, les volumes prélevables actualisés et affinés, ainsi que les débits seuils d’alerte et de crise.

L’étude souhaitée vient ainsi en complément de l’étude de détermination des débits de référence déjà réalisée, et reprend les grands principes d’une étude HMUC au sens du SDAGE. L’objectif principal de cette étude pour la CLE est de disposer de données factuelles comme des volumes prélevables pour prendre en compte l’enjeu quantitatif et éventuellement proposer de nouvelles règles ou dispositions dans le SAGE.

Avancée de l'étude :

Phase 1 : État des lieux, synthèse et actualisation des données

Objectif 1 : Appréhender le fonctionnement des différents cours d’eau et nappes souterraines du périmètre du SAGE ;

Résumé : Il n'existe pas de réelles diminution des quantités de pluies à l'échelle annuelle ni-même en période dîtes d'étiage (d'avril à octobre) sur la période 2000-2020. Une analyse sur les stations météo du Mans et d'Alençon sur les 40-50 dernières années démontre les mêmes résultats.

Concernant les excédents ou déficits hydriques, qui correspondent au croisement des évolutions des pluies et l'évapotranspiration moyenne (basée entre sur la température, la vitesse du vent, les tensions de vapeur...), on peut noter des modifications ces 20 dernières années :

  • baisse de l’excédent pluviométrique sur les mois hivernaux et automnaux,
  • baisse du déficit sur les mois d’avril à juin et son aggravation au mois de juillet, août et septembre .

 Les valeurs de QMNA5 (= débit d'étiage ayant, chaque année, la probabilité 0,2 (1/5) de ne pas être dépassée. C'est donc la valeur du QMNA qui peut se produire, en moyenne, 1 année sur 5) représentent entre 9 et 15% du module des cours d’eau au droit des stations hydrométriques des unités de gestion réglementaire. Le bassin versant de la Sarthe amont n’apparaît donc pas comme particulièrement critique en période d’étiage comparé à certains territoires du bassin Loire-Bretagne. En effet, sur certains secteurs considérés comme sensibles en étiage (Oudon, Lay, Layon, Clain…), le QMNA5 représente en moyenne moins de 5% du module.

Concernant les sous-unités de gestion, on constate que les cours d’eau de l’Hoëne et l’Orthe ne sont pas sensibles en période d’étiage puisque les rapports du QMNA5 sur le module sont respectivement de 40 et 20%. Le Merdereau peut être qualifié de légèrement sensible à l’étiage : le QMNA5 représentant 8% du module. Enfin, le sous-secteur de l’Ornette est critique en période d’étiage puisque que le rapport est de 1%.

Concernant les eaux souterraines (12 masses d'eaux identifiées), les premiers élèments tendent à indiquer que la contribution des nappes est importante pour toutes les principales stations du secteur d'étude.

Pour en savoir plus : Lien vers le rapport HMUC répondant à l'objectif n°1

A télécharger : Lien vers le compte-rendu du cotech n°2 pour valider la note d'hypothèse


Objectif 2 : Disposer de mesures in situ pour identifier le débit écologique de cours d’eau ;

Lors de l'étude de détermination des débits de référence, l'unité de gestion Sarthe amont liée à la station hydrométrique de St Céneri le Gerei / Moulin le Carbonnel et celle de l'Orne Saosnoise ont bénéficié de mesures in situ permettant de définir des débits écologiques.

Qu'est-ce qu'un débit écologique ?

Les débits écologiques sont définis comme « la quantité, la saisonnalité et la qualité des débits nécessaires à la durabilité des écosystèmes d'eau douce et estuariens ainsi qu'aux besoins et au bien-être des hommes qui dépendent de ces écosystèmes » (Lamouroux et al. soumis). Autrement dit, sans le respect de ces débits, il sera difficile d'atteindre les objectifs du bon état, même si d'autres actions sur la qualité de l'eau sont mis en oeuvre. Pour en savoir plus : Consulter le guide du ministère de l'écologie

Dans le cadre de la présente étude, il est prévu que soit réalisé des mesures de plages de débits écologiques sur l'unité de gestion de la Bienne, du Merdereau et de la Sarthe à Souillé (point nodal du SDAGE Loire bretagne). Ainsi, il est avant tout nécessaire de définir des stations à la fois représentatitve du cours d'eau et qui répondent aux exigences des protocoles de mesures. Le choix des stations a été réalisé en concertation avec l'OFB et la fédération des pêcheurs de la Sarthe, qui connaissent parfaitement les cours d'eau.

Pour en savoir plus : voir la fiche de l'EPL expliquant comment mesurer un débit écologique avec les habitats

A télécharger : Lien vers la présentation permettant d'acter les tronçons choisis

A télécharger :Lien vers le rapport "disposer de mesures in situ pour identifier  les plages de débits écologiques de cours d'eau"


Objectif 3 : Connaître les prélèvements et rejets réalisés sur le périmètre du SAGE, en leur appliquant individuellement un degré d’incertitude ;

Résumé : Une pré-étape de travail a été nécessaire afin de définir des hypothèses. En effet, pour une majorité des données collectées, ces dernières sont annuelles. Il est ainsi nécessaires d'émettre des hypothèses pour disposer d'une temporalité journalière. De même, il peut aussi être nécessaire d'émettre des hypothèses sur leurs spatialisations. Pour exemple, les données des surfaces agricoles irriguées ne sont pas disponibles et il est nécessaire d'émettre des hypothèses pour estimer aux mieux ces dernières.

Suite à de multiples échanges, le Comité technique a ainsi validé les hypothèses et les incertitudes de données pour chacun des usages

  • d'une part pour affiner les données disponibles : pour exemple, nous avons pu récupérer le nombre d'installations d'assainissement non collectif sur le périmètre du SAGE par commune. Il est donc proposé d'y inscrire un nombre moyen d'habitants et un volume moyen journalier rejeté par habitant pour estimer les volumes journaliers rejetés sur chacune des masses d'eau. Il est ensuite nécessaire de définir une règle générale, qui malgré ses biais, permettra d'estimer au mieux la part de ces rejets vers le milieu...

 

  • d'autre part sur les besoins futurs : Au-delà de la prise en compte du changement climatique, il est nécessaire de prendre en compte l'évolution des prélèvements et rejets pour les 30 prochaines années. Dans ce cadre, des hypothèses doivent également être réalisées. Pour ce faire, il est proposé des scénarios tendanciels bas, médian et haut pour chacun des principaux prélèvements et rejets. Pour exemple, il est proposé dans la note d'hypothèse pour l'irrigation agricole un scénario tendanciel bas avec un remplacement d'une part de la culture de maïs fourrage par du sorgho et de blé par de l'orge, un scénario tendanciel médian avec le maintien des surfaces de SAU totales et irriguées et scénario tendanciel haut avec une augmentation des volumes prélevés annuellement et des surfaces irriguées...

A télécharger : Lien vers le compte-rendu du cotech n°2 pour valider la note d'hypothèse suite à la validation des derniers points en cotech restreint le 15/10/2021

 Suite à cette validation des hypothèses et des incertitude, un rapport de bilan des usages (définition et estimation des volumes d'eau prélevés et rejetés dans les milieux (souterrains et superficiels)) a été réalisé.

A télécharger : Lien vers le compte-rendu du cotech n°3 (24/05/2022) pour valider le bilan des usages

A télécharger :Lien vers la dernière version de rapport complet du bilan des usages 

A télécharger : Lien vers la note de synthèse du bilan des usages à jour réalisée par la CLE

 

Objectif 4 :Connaître l’état des ressources sans les prélèvements, et le cas échéant les rejets, afin d’identifier par unité de gestion (superficielle et souterraines) leur fonctionnement sans activités anthropiques, tout en apportant des degrés d’incertitudes

Disposant désormais d'une photographie des principaux prélèvements et rejets sur le bassin versant de la Sarthe amont, la démarche consiste à identifier les fonctionnements hydrologiques de nos cours d'eau sans ses derniers, ce que l'on appelle hydrologie désinfluencée. Cette étape permet d'appréhender le fonctionnement "naturel" du cours d'eau, tout en sachant qu'il est nécessaire d'une part de garder en tête que seuls les principaux prélèvements ont été pris en compte (forage ou pompage domestiques non déclarés donc non connus...). De plus, les modifications d'occupation des sols à l'échelle du bassin versant (drainage, imperméabilisation, détournements des circuits de l'eau...) n'ont pas été pris en compte bien qu'impactant le fonctionnement hydrologique des cours d'eau.

A télécharger : Lien vers le projet de rapport "connaitre l'état des ressource sans les prélèvements et rejets"

 

Objectif 5 : Estimer dans les grandes lignes l’évolution possible des ressources et des usages du fait du changement climatique ;

Lors des échanges avec les acteurs du territoire, il a été défini l'évolution possible des prélèvements et rejets pour les 20 ou 30 prochaines années. Bien entendu, les résultats restent très théoriques mais ont le mérite d'avoir été validés par les acteurs locaux.
Cette évolution possible des ressources et des usages, basée sur des modélisations climatiques, permettra aux membres de la CLe et du grand public d'appréhender les évolutions possibles et ainsi d'en prendre compte dans les démarches à mettre en oeuvre, dont la révision du SAGE.

A télécharger : Lien vers le projet de rapport "Estimer dans les grandes lignes l'évolution possible des ressources et des usages du fait du changement climatique"

 

BILAN DE LA PHASE 1 :

En lien avec les différents comités techniques de validation et le bureau de la CLE, les rapports concernant les volets Hydroogie, Milieux, Usages et Climat, ainsi qu'un rapport de synthèse sont téléchargeables ci-dessous :

Suite au cotech du 07/10/2022 :

A télécharger : Compte-rendu du cotech du 07/10/2022

Suite au bureau de CLE du 09/11/2022 :

A télécharger : Compte-rendu du bureau de la CLE du 9/11/2022

 A télécharger : Lien vers le rapport de Synthèse de la phase n°1 : État des lieux, synthèse et actualisation des données

A télécharger : Présentation du volet HYDROLOGIE objectif 1 et objectif 4 - versions finales

 

A télécharger : Présentation du volet MILIEUX - version finale

A télécharger : Présentation du volet USAGES - version finale

A télécharger : Présentation du volet CLIMAT - version finale

 

 

Phase 2 : Diagnostics et croisements des données

Objectif 6 : Connaître l’état des ressources (souterraines ou superficielles) et caractériser les secteurs sous tension ;etiage aout 2022 terrancon st pierre des nids 53- Sarthe amont

Résumé : Au sein de ce rapport, il est étudié l'éventualité de proposer une modification de la période d'étiage (de basses eaux) définie dans le SDAGE loire Bretagne. D'après les données disponibles, il est proposé de maintenir les périodes du SDAGE, soit du 1er avril au 31 octobre.

Puis, chacune des unités de gestion et sous-unités de gestion est mis en perspective vis-à-vis des 4 volets HMUC : hydrologie, milieux, usages et climat.

Ainsi, l'Hoëne semble être à l'équilibre, tandis que les unités Sarthe amont (partie ornaise, sauf Hoëne), Bienne et Ornette sont considérées comme déficitaires un à plusieurs mois dans l'année.

Il est à noter que pour l'ensemble du territoire, il apparait des problèmes plus ou moin conséquents au sein de ces cours, même sans prélèvements directs dans ou à proximité des cours, signifiant que les principales altérations quantitatives identifiées sur les cours d'eau sont dues d'une part à la morphologie des cours d'eau (modification du lit des cours d'eau (rendus rectilignes, plus profonds...)) et d'autre part à un aménagement du territoire limitant les possibilités à l'eau de s'infiltrer et d'alimenter les cours d'eau de façon plus prolongé (imperméabilisation, drainage,altération des zones humides, retournement de prairie...).

Néanmoins, sur ces cours d'eau, il existe des secteurs où les prélèvements viendront accentuer les déficits quantitatifs et d'autre où une vigilance doit être apportée pour les années à venir, aux vus des modifications climatiques déjà engagées.

A télécharger : Lien vers la présentation du cotech n°5

A télécharger : Lien vers le compte-rendu du cotech n°5

A télécharger : Lien vers le rapport de synthèse de la phase n°2 définitif

A télécharger : Lien vers le compte-rendu du bureau du 3 mars 2023 validant la période de basses eaux + Présentation

 

 Phase 3 : Propositions d’actions et d’adaptation du SAGE

 

L’objectif premier de cette phase est d’identifier, pour chaque période de l’année, les seuils de gestion structurelle, à savoir :

  • Débits objectifs d’étiage en période de basses eaux, ainsi que les volumes prélevables totaux ;
  • Conditions de prélèvements en période hors période de basses eaux et volumes prélevables totaux associés.

 Cette démarche a permis de poser les jalons sur lesquels se sont appuyer les dernières phases de l’étude, à savoir les propositions d’ajustement de la gestion de crise (objectif 7), la définition de volumes prélevables par usage et par période (objectif 8), ainsi que la proposition de recommandations pour réaliser des économies d’eau (objectif 9).

Objectif 7 : Affiner les débits seuils superficiels réglementaires proposés dans le cadre de la précédente étude ;

Objectif 8 : Définir des volumes d’eaux superficielles (ou souterraines en lien avec ces dernières) prélevables par usage et par période ;

Objectif 9 : Disposer de recommandations pour réaliser des économies d’eau ;

 Cotech n°6 du 14 avril 2023:

A télécharger : Lien vers la présentation du Cotech n°6 du 14/04/2023

A télécharger : Lien vers le compte rendu du Cotech n°6 du 14/04/2023

 

PRESTATION SUPPLEMENTAIRE : Mise en place d'un outil itératif

 

Proposition au bureau de la CLE de mettre en place un outil d'aide à la décision :

A télécharger : le CR et la présentation du bureau de la CLE du 9 mai 2023

Comités techniques concernant l'outil :

1-Calage des fonctionnalités principales de l'outil : A télécharger : le Compte rendu et la présentation du cotech du 5 octobre 2023

2- Validation de l'outil itératif : A télécharger : le Compte rendu et la présentation + fiche outils du cotech du 14 novembre 2023

 

Cotech n°9 du 12 décembre 2023:

1- Annexe de l'outil itératif afin de préparer le cotech N°9, ayant pour but de définir les volumes prélévables et d'affiner les débits seuils superficiels
2- Note de propositions INITIALE de DOE et de volumes prélevables par unités de gestion

3- Compte rendu du cotech du 12/12/2023
4- Note de propositions AVEC CORRECTIONS SUITE A ERREUR CAPTIF de DOE et volumes prélevables par unités de gestion mise à jour suite au cotech n°9

Cotech n°10 du 29 janvier 2024 :

1- Compte rendu du cotech du 29/01/2024

Cotech n°11 du 23 mars 2024 :

1- Note de définition des objectifs = document de travail pour préparer la réunion

2- Présentation projetée lorsdu cotech du 23/03/2024

3- Compte rendu du cotech du 23/03/2024

Atelier du 4 avril 2024 :

A télécharger : Synthèse des problématiques et enjeux identifiés lors de l'atelier du matin

A télécharger : Synthèse des actions proposées lors de l'atelier de l'après-midi

Bureau de la CLE du 17 avril 2024 :

A télécharger : Lien vers la note de définition des conclusions de la phase n°3 pour le bureau de la CLE